Voiture 117 g CO2 2025 : découvrez les modèles les plus écologiques

Peut-on encore ressentir les frissons de la route sans polluer l’air à chaque accélération ? Désormais, le plaisir de conduire croise un autre enjeu : celui de la responsabilité carbone, affichée en grammes sous le capot. En 2025, franchir la barre fatidique des 117 g de CO2 par kilomètre ne sera plus un détail : c’est la ligne de partage entre conduite assumée et addition salée à l’achat.

Les citadines affûtées côtoient désormais les berlines sophistiquées sur la ligne de départ. Les automobilistes inspectent les fiches techniques avec l’attention d’un gourmet à la recherche de la recette parfaite : savourer la route sans alourdir la facture écologique. Mais quels sont les modèles qui conjuguent panache et respect du seuil, sans brader l’émotion du volant ?

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Voiture 117 g CO2 en 2025 : un seuil clé pour rouler plus vert

Choisir une voiture 117 g CO2 2025, ce n’est plus simplement cocher une case : c’est embrasser une nouvelle ère de fiscalité. En France, le seuil de déclenchement du malus écologique sera abaissé à 117 g de CO2/km en 2025. Pour les automobilistes, la sélection du modèle prend des airs de stratégie : viser juste pour échapper à la surtaxe.

Le malus écologique a renforcé sa présence : la loi finances l’a aiguisé, frappant chaque véhicule qui franchit la limite. Le barème se resserre : chaque gramme supplémentaire pèse sur le portefeuille. S’ajoute à cela le malus poids, qui cible les véhicules les plus massifs, peu importe leur carburant. Seuls les modèles électriques et certains hybrides s’en sortent sans égratignure, offrant une bouffée d’air frais dans ce climat fiscal.

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• Le malus écologique est déclenché dès 117 g de CO2/km.
• Le malus poids tombe à partir de 1 600 kg pour thermiques et hybrides non rechargeables.
• La grille malus écologique se resserre chaque année.

Les constructeurs réagissent : Peugeot, Renault, Toyota, Kia ou Volkswagen adaptent leur gamme. Renault Clio TCe, Peugeot 208, Toyota Yaris : ces modèles passent sous le radar, échappant au piège du malus. Côté électrique, le bonus écologique booste encore l’attrait, érigeant ces véhicules en têtes d’affiche de la transition.

Dans cette nouvelle équation, viser un modèle sous les 117 g de CO2, c’est éviter le couperet fiscal et rouler léger, tout en conservant son autonomie et son confort au quotidien.

Pourquoi ce niveau d’émissions devient-il la nouvelle référence ?

Le seuil de 117 g de CO2/km ne sort pas d’un chapeau administratif. Il reflète la pression conjuguée du projet de loi finances français et des directives de l’Union européenne. Le Parlement européen impose une réduction drastique des gaz à effet de serre : chaque État doit suivre la cadence.

En France, l’abaissement du seuil de déclenchement du malus écologique s’inscrit dans ce mouvement. La fiscalité se veut incitative, parfois même punitive : chaque modèle qui dépasse la limite en paie le prix. À travers la grille du malus écologique, les pouvoirs publics visent à accélérer la mutation du parc automobile et à aligner le pays sur les engagements climatiques européens.

• Le malus écologique influence directement les choix des acheteurs et des marques.
• Le seuil de déclenchement se resserre chaque année sous la houlette de Bruxelles.

La loi finances 2025 s’appuie sur les recommandations européennes pour alourdir son barème. Les constructeurs suivent le rythme : hybrides, micro-hybrides, moteurs thermiques optimisés rivalisent d’ingéniosité pour ne pas franchir la ligne rouge. Ce seuil, transformé en nouveau standard, façonne la stratégie industrielle et oblige à innover dans la sobriété.

Les modèles les plus écologiques à moins de 117 g de CO2

Les marques redoublent d’efforts pour proposer des voitures thermiques et hybrides qui restent sous la fameuse barre des 117 g de CO2/km. Le marché français déborde d’alternatives, de la citadine maligne à la familiale futée.

La Peugeot 208 PureTech, la Renault Clio TCe et la Toyota Yaris hybride s’installent en références. Leur secret : des moteurs peaufinés, une chasse au gramme et au kilo menée jusque dans la conception. Chez Kia, la Rio et la Ceed mild-hybrid affichent une performance remarquable. Volkswagen, fidèle à sa réputation, propose la Polo TSI qui maintient la pression dans la catégorie.

• Peugeot 208 PureTech 100 : 104 à 109 g CO2/km (dépendant des finitions)
• Renault Clio TCe 90 : 105 à 115 g CO2/km
• Toyota Yaris Hybride : 87 à 92 g CO2/km
• Kia Rio Mild Hybrid : 109 à 115 g CO2/km
• Volkswagen Polo TSI : 110 à 114 g CO2/km

La vague hybride ne doit rien au hasard. L’exonération du malus poids pour ces modèles – sous réserve de ne pas être trop lourds – dope leur attractivité. Les voitures électriques restent hors-jeu dans ce classement : zéro émission, mais un public à part. Pour la majorité des conducteurs, la bataille se joue sur la sobriété des moteurs thermiques et l’intégration intelligente de l’hybridation légère.

Ce paysage bouge vite. Chaque année, les constructeurs affinent la recette pour rester sous la limite fatidique et s’ajuster à la grille du barème 2025. Que l’on cherche une auto de ville, un break familial ou une compacte passe-partout, le choix s’élargit à mesure que la réglementation façonne le marché.

Conseils pour choisir une voiture performante et respectueuse de l’environnement

Débusquer un modèle sous les 117 g CO2/km ne s’arrête pas à la lecture de la fiche technique. Il faut examiner la consommation réelle, souvent éloignée de l’homologation, surtout en ville ou sur autoroute. Privilégiez les blocs sobres : essence à injection directe, hybride, micro-hybride. L’usage compte : si la majorité des trajets se fait en zone urbaine ou périurbaine, l’hybride prend l’avantage ; pour les grands rouleurs, un petit moteur essence bien conçu fait la différence sur autoroute.

• Inspectez le barème du malus écologique : chaque gramme au-dessus du seuil alourdit la note lors de la mise en circulation.
• Informez-vous sur le bonus écologique possible pour les hybrides ou électriques, qui peut alléger l’investissement de départ.
• Comparez le prix de la carte grise, qui dépend de la région et du niveau d’émission.

Ne négligez pas la valeur de revente : les modèles propres gardent une longueur d’avance, surtout avec la fiscalité qui pèse de plus en plus sur les véhicules à forte émission. Côté assurance, la sobriété peut aussi faire baisser la prime.

Pour affiner votre choix, testez plusieurs modèles : comportement sur route, ergonomie, capacité du coffre, niveau d’équipement… autant de critères qui font la différence au quotidien. Les marques comme Peugeot, Renault, Toyota, Volkswagen ou Kia rivalisent d’offres calibrées pour la réglementation française. Mais attention : les règles du bonus-malus et les exigences européennes évoluent sans cesse : surveillez les moindres changements de barème pour ne pas vous faire surprendre.

Demain sur l’asphalte, chaque gramme comptera. La ligne d’arrivée n’est plus celle du circuit, mais celle d’un futur respirable pour tous.